Tome 3 de la Légende de Jean l'Effrayé
Quatrième de couverture
La peur de la mort affaiblit le jugement et peut armer la main. Alors l’homme devient redoutable.
Contraints de fuir Paris où sévit la peste, l’Effrayé et ses amis entrent dans un monde qu’ils ne connaissent pas, celui de la campagne et de ses croyances, plus fortes que la parole du Seigneur. Ils tentent de se réfugier à l’écart des grands axes, dans un bourg qui leur ferme ses portes. Leur arrivée dérange, fait ressortir la disparition de deux hommes. Bientôt, des moutons sont décapités et une grange brûle… l’hystérie est collective. Il faut un coupable pour apaiser les esprits…
L’Effrayé devient le témoin d’une brutalité présente au fond de tout être vivant. Il suffit d’une occasion, d’une épreuve… Dans ce contexte où se mêlent ambition, complots et trahison, Jean l’Effrayé découvrira enfin la vérité sur ses origines.


L’éducation est l’arme la plus puissante pour changer le monde. [Nelson Mandela]
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Sous quelque gouvernement que ce soit, la nature a posé des limites au malheur des peuples.
Au-delà de ces limites, c’est la mort, la fuite ou la révolte. [Diderot]



Les lecteurs en parlent
Même si je suis Parisien et que je me suis délecté dans les rues médiévales de Paris dans le second tome Protestatio, J'aime peut être encore plus celui-là, car l l''écriture s'est encore plus enjolivée, et il y a des passages où l'émotion est très forte. Mais aussi, parce qu' il se déroule à la campagne, parmi les paysans. Milieu que je ne connais pas ( je suis un vrai citadin). Leur vie, leur mentalité et la montée de leur révolte dans ce paysage si vivant, me donne envie d'aller visiter ce village médiéval. N'hésitez pas, vous ne regretterez pas : les personnages sont crédibles et attachants. Ce ne sont pas des héros, mais des hommes et des femmes du peuple. Bravo !