Le mot « diététique » n’existe pas au Moyen Âge, mais l’alimentation est équilibrée. On ne grignote pas. On mange à table à heure fixe. Et des plats bien cuisinés et goûteux comme une soringue d’anguilles…

Le mot « diététique » n’existe pas au Moyen Âge, mais l’alimentation est équilibrée. On ne grignote pas. On mange à table à heure fixe. Et des plats bien cuisinés et goûteux comme une soringue d’anguilles…
À partir du XIIe siècle, hommes et femmes, riches ou pauvres, parfument leurs corps, embaument leurs maisons, leurs habits, se soignent et se protègent avec toute sorte de senteurs… le parfum est partout, même dans les plats et la cervoise.
Arômes, saveurs, couleurs, propriétés thérapeutiques et diététiques, les épices entrent dans l’imaginaire des médiévaux…
Au moyen âge,« le lait de chèvre ou de brebis, c’est pour les pauvres » jusqu’au jour où… Et que dire du rouge d’« uef », mêlé au fromage des moines ?
Le fast food existe déjà… et pourtant on dresse la table… l’un trône, l’autre mange sur le pouce… le médecin entre dans les cuisines… tout est hiérarchisé, contrôlé…