Le mot « diététique » n’existe pas au Moyen Âge, mais l’alimentation est équilibrée. On ne grignote pas. On mange à table à heure fixe. Et des plats bien cuisinés et goûteux comme une soringue d’anguilles…

Le mot « diététique » n’existe pas au Moyen Âge, mais l’alimentation est équilibrée. On ne grignote pas. On mange à table à heure fixe. Et des plats bien cuisinés et goûteux comme une soringue d’anguilles…
Malgré la succession des interdits, de l’enfant au vieil homme et dans toutes les classes sociales, on ne cesse de jouer. Le Moyen Âge pourrait être considéré comme l’âge d’or du jeu.
Chez les pauvres comme chez les nobles, le pain se fait dans les cuisines. Surveillés, contrôlés, les boulangers, vendent le leur. Mais la demande en pain est si importante que les villes font appel aux forains…
Homme libre et inquiétant, le charbonnier suit le bûcheron, va de forêt en forêt , travaille nuit et jour sans se soucier des villes. Pourtant, les villageois tremblent de le savoir dans leur bois… À juste titre ? Voyons ça…
Une pensée symbolique du monde domine les esprits médiévaux… le réel et l’imaginaire se mêlent… On croit autant à la licorne qu’à l’éléphant… Aucune époque n’a autant mis en scène l’animal.